DREAM BABY DREAM Hélice Hélas éditions, 2021
280 pages 14x19 cm
Préface de Blutch et postface de Thomas Bernard & Christophe Brunella
isbn: 978-2-940522-98-9
www.helicehelas.org/dream-baby-dream
"Nous imaginons volontiers Nadia Raviscioni se mettre le matin à sa table à dessin avec un café. Penchée sur son carnet ou sur un bout de feuille chiffonnée, elle griffonne au bic ou au pinceau une image qu’elle a eu au réveil, les restes de son dernier rêve, une image fraîchement suave et entraînante, au son de Suicide, Nina Simone, Bob Dylan ou Jonathan Richman.
Avec Dream Baby Dream, des dessins réalisés sur le papier, sans crayonnés préalables, guidés par l’instant, font penser à l’écriture automatique chère aux surréalistes. Si on s’éloigne de la bd traditionnelle, chaque dessin entretient un jeu de correspondance avec les autres et l’ensemble forme un rébus étrange.
Des motifs récurrents dans le travail de l’auteure font leurs apparitions, créant échos et résonances à ses œuvres précédentes : les cactus, les félins, les figures anthropomorphes, des maisons et des ruines antiques, des oiseaux et des avions... Il arrive souvent que le familier redevienne sauvage, les échappées des voies sans issue, les choses de rien des mondes infinis, au point que l’apprivoisé se retourne contre nous, que l’ordinaire se révèle hostile."
(extrait de la postface)
interview paru dans LES ARTS DESSINES, numéro 17, de Frederic Bosser
https://www.lesartsdessines.fr/
article paru dans LA TRIBUNE DE GENEVE, de Philippe Muri
lire en meilleure qualité:
https://www.tdg.ch/nadia-raviscioni-pratique-avec-bonheur-lart-du-dessin-sans-filet-191587427144
article paru dans LE COURRIER, de Marine Bass lire en meilleure qualité:
https://lecourrier.ch/2021/10/08/glaneuse-de-reves/
Préface de Blutch
DREAM BABY DREAM Hélice Hélas éditions, 2021
280 pages 14x19 cm
Préface de Blutch et postface de Thomas Bernard & Christophe Brunella
isbn: 978-2-940522-98-9
www.helicehelas.org/dream-baby-dream
"Nous imaginons volontiers Nadia Raviscioni se mettre le matin à sa table à dessin avec un café. Penchée sur son carnet ou sur un bout de feuille chiffonnée, elle griffonne au bic ou au pinceau une image qu’elle a eu au réveil, les restes de son dernier rêve, une image fraîchement suave et entraînante, au son de Suicide, Nina Simone, Bob Dylan ou Jonathan Richman.
Avec Dream Baby Dream, des dessins réalisés sur le papier, sans crayonnés préalables, guidés par l’instant, font penser à l’écriture automatique chère aux surréalistes. Si on s’éloigne de la bd traditionnelle, chaque dessin entretient un jeu de correspondance avec les autres et l’ensemble forme un rébus étrange.
Des motifs récurrents dans le travail de l’auteure font leurs apparitions, créant échos et résonances à ses œuvres précédentes : les cactus, les félins, les figures anthropomorphes, des maisons et des ruines antiques, des oiseaux et des avions... Il arrive souvent que le familier redevienne sauvage, les échappées des voies sans issue, les choses de rien des mondes infinis, au point que l’apprivoisé se retourne contre nous, que l’ordinaire se révèle hostile."
(extrait de la postface)